
Durée de séjour : une stratégie qui booste ou plombe tout !
Fixer une durée de séjour minimum, c’est un vrai levier de rentabilité en location saisonnière.
Mais attention, une mauvaise stratégie peut vite vous coûter des réservations !
Fixer une durée de séjour minimum, c’est un vrai levier de rentabilité en location saisonnière.
Mais attention, une mauvaise stratégie peut vite vous coûter des réservations !
Beaucoup de propriétaires et gestionnaires pensent bien faire en imposant d’abord un séjour long, puis en le réduisant progressivement à mesure que la date d’arrivée approche. Logique en apparence, mais en réalité… cette méthode peut sérieusement impacter votre taux d’occupation et vos revenus.
Pourquoi ? Comment faire mieux ? Dans cet article, on décortique cette approche, ses pièges, et on vous donne une stratégie plus efficace, basée sur l’analyse de la demande. 🚀
Beaucoup de propriétaire commencent par imposer un séjour minimum de 7 nuits, puis réduisent progressivement cette durée à mesure que la date d’arrivée approche.
L’objectif ? Éviter les trous dans le calendrier et maximiser le prix des longues réservations.
L’approche progressive de la durée minimum de séjour, bien que tentante, peut réduire vos revenus de 15 à 25% sur une saison complète.
Voici les trois problèmes majeurs :
Cette stratégie, qui vise initialement à maximiser le prix des longues réservations (jusqu’à 30% de plus qu’une succession de courts séjours), s’avère finalement contre-productive, particulièrement pendant les périodes de forte demande.
En haute saison, les voyageurs réservent généralement bien à l’avance. Si vous imposez un séjour minimum de 7 nuits puis réduisez progressivement cette contrainte, vous risquez d’accepter des courts séjours qui laisseront des nuits isolées impossibles à louer.
Résultat : un calendrier morcelé et un taux d’occupation plus faible et une perte de rentabilité.
Une bonne stratégie consiste à maintenir une durée de séjour longue aussi tard que possible.
En période de forte demande, il est préférable d’optimiser chaque réservation pour maximiser le taux d’occupation global plutôt que de remplir son planning avec des courts séjours non optimisés.
Manque de visibilité sur les plateformes
En basse saison, les séjours longs sont rares. Si vous commencez avec une durée minimale trop restrictive, votre annonce risque de ne pas apparaître dans les résultats de recherche des plateformes.
Cela diminue votre taux de réservation et peut entraîner des périodes de vacance prolongées.
Opportunités de réservation perdues :
Accepter des courts séjours dès le départ permet d’augmenter les chances de remplir son calendrier.
Une souplesse maîtrisée permet de maximiser le nombre de nuits louées tout en s’adaptant aux besoins des voyageurs.
Pour fixer une durée de séjour minimum efficace, il est essentiel d’analyser la demande locale.
Des outils comme AirDNA permettent de mesurer le taux d’occupation et le revenu moyen par nuit (RevPAR) pour adapter ses stratégies en conséquence.
Les bons outils d’analyse :
La stratégie de durée de séjour minimum ne doit pas être basée uniquement sur le temps restant avant l’arrivée. Elle doit être dictée par la demande et ajustée intelligemment pour maximiser la rentabilité.
En forte demande : maintenir une durée élevée le plus longtemps possible.
En faible demande : être flexible dès le départ pour capter un maximum de réservations.
Tendances & conseils
pour booster votre location !
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